Mission rentrée scolaire !!!
Alors que beaucoup de mamans stressent à l’approche de la rentrée scolaire, j’étais loin de m’imaginer que j’allais moi aussi vivre « cette étape » de façon éprouvante.
Après tout, Lilou passait à la section des grands à la crèche. Il allait retrouver la plupart des camarades? avec qui? il avait passé une année complète. Il retrouverait également quelques nounous qui s’étaient occupées de lui. Pas trop de choc en perspective !!!
Et bien, je me suis lourdement trompée. En effet, après une coupure de 6 semaines – 6 semaines ou son ryhtme de vie avait été modifié, 6 semaines que nous avions passé en famille à profiter du temps libre que nous avions à aller au parc, à se balader, etc…
– voilà qu’il lui fallait à nouveau se réveiller à heure fixe, se coucher à heure fixe, accepter de passer ses journées avec une autre personne que son Papa et sa Maman !!!
Alors qu’au début, je pensais que ce n’était qu’un caprice, je m’en veux, aujourd’hui, de ne pas avoir été voir plus loin que le bout de mon nez.
Alors me persuadant que la patience et la discussion guérissent de toux les maux, je me suis motivée chaque matin à le réveiller en douceur. A lui expliquer calmement qu’il allait passer la journée avec ses copains à la crèche, qu’on allait se retrouver le soir après que Papa l’ait récupéré comme il l’avait fait la veille, et le jour d’avant la veille.
3 semaines après la reprise, j’en suis malheureusement toujours au même point.
En résumé, j’ai droit à des crises tous les matins dès qu’on arrive à la créche. J’ai droit à la totale.
Il refuse de marcher et encore moins de quitter mes bras.
Si j’ai le malheur de le poser et de le lâcher, il tombe… jusqu’à parfois se faire maL !!!
J’en suis arrivée à un point ou je vais à la crèche la boule au ventre.
Pourtant, les nounous me disent qu’il s’intégre très vite à la vie de la crèche quelques minutes après mon départ (ce qui me rassure, énormément je l’avoue – car quoi de pire que de savoir que son bout de chou est triste et malheureux et de ne pas pouvoir lui venir en aide).
Toujours est-il que j’ai les nerfs à fleur de pot. Je ne sais plus quoi faire ni quelle méthode adoptée pour calmer mon petit garçon, pour le rassurer.
D’autant plus, qu’avec son père, tout se passe à merveille. Aucune esclandre !!! Son travail ne lui permet pas de le déposer le matin, à mon grand désarroi.
CULPABILITE quand tu me tiens :(.
Et vous, quels sont vos souvenirs de rentrée ?
Avez-vous traversé ce genre d’épreuve ? Comment avez vous fait face ? Avez vous des conseils à partager avec moi ?
J’ai hâte de vous lire.
Coucou Woda! Comme je te comprends! C’est très dur à vivre et la culpabilité nous tiraille plus vite que son ombre. Lorsque j’ai inscrit Choupette en garderie ( pr 2 matinées / semaine, elle avait alors 18 mois et même si elle a eu une adaptation sur 2 semaines ( 30 min en garderie, puis 01h00, puis 02h00 etc…). Au début, elle s’accrochait à moi comme une moule à son rocher, pleurait ( avec de vraies grosses larmes) et ça me cisaillait le ventre. Les nounous en garderie me confirmaient que ça ne durait pas plus d’une minute et qu’à peine j’étais partie, elle s’arrêtait, me précisant que Choupette voulait juste me culpabiliser ( et ça marchait). La garderie m’a alors proposé de les appeler dans les 5 minutes suivants mon départ pour m’assurer qu’en effet, Choupette ne pleurait plus. je ne l’ai fait qu’une fois ou deux et ça m’a déculpabilisé ! Elle était bien, elle jouait et participait. et moi, j’avais l’esprit libre et le coeur léger. Tu peux peut être demander à ta directrice de crèche de faire pareil? Bon courage et tiens moi au courant. Si jamais ça durait, tu peux aussi demander conseil et avis à ton pédiatre /médecin traitant ?
Merci pour tes mots, Pep’s Mozer.
Ce matin, je suis allée à la crèche un peu plus sereine.
Mon fils a tout de même pleuré quand je l’ai laissé mais c’est resté gérable.
Cette fois, j’avais anticipé le fait qu’il se jette au sol en signe de protestation et du coup, je l’ai placé à proximité du tapis en mousse de l’aire de jeux pour amortir sa chute.
Résultat, zéro bobo assuré !!!
Moi je stresse plutôt du fait de ne pas pouvoir devenir maman. A cause de mon problème d’infertilité, on m’a dit que je ne pourrais pas avoir d’enfant. Quelqu’un sait-il comment trouver une mère porteuse en Belgique ?
Je sais que la clinique Feskov (https://mere-porteuse-centre.fr) a un bureau à Bruxelles. Une mère porteuse après 6 mois de grossesse sera observée en Belgique et donnera naissance en Belgique également.